Agriculture

Un tiers du territoire du Grand Genève est composé de cultures agricoles et de milieux ouverts. Dotée d’une très grande diversité de productions alimentaires entre France et Suisse, l’agriculture contribue aussi à préserver la biodiversité. Cependant, les espaces et activités agricoles restent soumis à de fortes pressions.

 

 

Une large diversité de productions

Le Grand Genève s’est engagé depuis 2007 à placer l’agriculture au centre du développement de l’agglomération en lien avec la profession agricole, les collectivités et les partenaires franco-suisses.

Riche d’une large diversité de productions agricoles (ferme urbaine, exploitation maraîchère sous serres, domaine viticole ou exploitation laitière) et d’un panel de produits agricoles tout aussi conséquent.

La frontière reste une contrainte

Si la diversité des productions est un atout pour l’agglomération avec de la production laitière et des prairies, en passant par des grandes cultures, des fruits et légumes, du vin, jusqu’au miel ou la pisciculture, son caractère transfrontalier en revanche peut être une contrainte majeure. Les barrières douanières, les différences de monnaie et de pouvoir d’achat ainsi que les coûts de production sont des freins à la commercialisation commune des produits de part et d’autre de la frontière.

Tendance à la baisse de la surface agricole

Graphique de répartition par types de surfaces agricoles

Usages en hectares de la surface agricole utile dans l’agglomération.

 

Tendance à la baisse de la surface agricole utile sur tout le territoire du Grand Genève :

  • Genève: – 30 ha/an de 2000 à 2019 (OFS)
  • District de Nyon: – 4 ha/an de 2000 à 2019 (OFS)
  • Haute-Savoie: – 1219 ha/an de 2000 à 2010 sur l’ensemble du département (Insee)
  • Ain: – 709 ha/an de 2000 à 2010 sur l’ensemble du département (Insee)

Partager cet article sur

Partager cet article sur

Aller au contenu principal